Virée ...

Il faisait nuit, le silence pesant ne faisait qu'accompagner ma solitude ... Mes pas résonnaient dans le village entièrement assombrit. Certains autres bruits, tel que des grincements, me donnait des frissons dans le dos. La main sur le manche de mon épée, j'avançais sans destination précise, méfiant et conscient des dangers nocturnes. Soudain, je m'arrêtai net, au milieu d'une rue marchande. Un arrière son très léger me dérangeait, étant donné que j'étais incapable de savoir d'où il provenait. Je restai un moment immobile, jusqu'à ce que je me persuade que ce son n'était qu'invention de mon imagination. Je me remis aussitôt à marcher, cette fois-ci me dirigeant vers un coin tranquille où je n'avais encore vu personne d'autre que moi. Deux petites minutes, peut-être trois et j'y arrivai. Un banc, un grand arbre et une belle vue, voilà ce qui me détendait plus que n'importe quoi ... Je m'assis et me détendit, faisant le vide de tout mes autres soucis ... Je fermai mes yeux ...

[ Petit ... Désolé ]

Assis sur un toit donnant, sur un coin tranquille et donc, sans géneurs, j'étais en train de remplir ma gourde ave le sang d'une petite fille qui avait croisée ma route. Etant donné son age j'aivais décidé de la faire devenir vampire, juste pour m'amuser.Je vaquais donc à mes occupations quand j'entendis un bruit, le temps de me relever, et de me pencher j'aperçus un homme, bien habillé, avec ( Wouah) un épée. Sur sa grande cape je distinguais le blason de reine d'Okamie. Je grognais : un garde. Apparament, il se croyait seul, car il s'assit et ferma les yeux. Je posais le regard sur ma main gauche, celle qui était tatouée de mon tribal.

** Etouffe, étouffe pas. **

Je souris laissant dévoilées mes canines avant de tendre la main vers le chevalier et ... fermais le poing. Il ne méttrait pas longtemps à suffoquer.

Mon esprit était à présent vide. Tout les soucis qui me tourmentaient s'étaient évaporés ... Mais, sans savoir pourquoi et comment, je commençai à avoir un mal fou à respirer, tellement que j'en tombai sur mes genoux, précipitant ma main gauche sur mon cou. Qu'est-ce que c'était ? Tandis que j'avais perdus la quasi totalité de ma respiration, et que ma vision - d'habitude si bonne - se fit noyer par un atroce flou, j'aperçus une ombre au loin, sur un toit. Sans réfléchir une seconde supplémentaire, me disant que je devais absolument faire quelque chose, donc par pur instinct, je tendis ma main vers cet homme et, dans un grand flash, plusieurs grands éclairs - lancés pacifiquement - sortirent de mes doigts et, dans une grande vitesse, s'expulsèrent vers l'ombre. Ce que je voulais faire, c'était simplement lui montrer que j'étais en danger, mais, certainement à cause de ce flou et de ce manque de respiration fatal, elles ne pouvaient plus qu'être destructrices ... Je tombai sur le ventre, regardant les éclairs ...